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Jace chez Mosaik en février

Evénement en vue à l’Espace Mosaik de la rue Charles Gounod à Saint-Denis (ndlr : Réunion). Le héros le plus célèbre de l’histoire du graffiti pays s’y trouve convié pour un mois, dès la rentrée. En attendant, petite bio du père d’un Gouzou qui a pignon sur rue.

Il n’est pas né ici mais débarqué de Normandie à l’âge de 9 ans à la Réunion, on peut dire que Jace a grandi à la Réunion, ce qui lui donne un crédit d’enfant du pays. Un marmaille nourri de BD par des parents dont il a su apprécier l’amour et l’ouverture d’esprit. Si Jace, étudiant, s’est distingué à l’université de Saint-Denis en décrochant une licence de biologie, c’est surtout son coup de crayon et ses traits de génie pour l’illustration qui lui ont à l’évidence octroyé ses plus réelles satisfactions.

C’est d’ailleurs avec la création en 1992 de son personnage fétiche, le Gouzou, sorte de pionnier de l’imagerie graffiti en des temps où ce rejeton des arts plastiques n’avait pas encore réellement droit de cité, que la notoriété le guettait. Reparti en métropole quelques mois plus tard pour un supplément d’études, l’artiste qui mûrissait en lui a trouvé les meilleures des raisons pour s’exprimer. Plaisir partagé pour une icone en mouvement sur les murs des capitales. Celles de la France et de ses voisins européens.

Résultat, en 1999, Jace de retour à la Réunion s’ingénie à planter partout son Gouzou y compris, et c’est le défi, dans les endroits les plus inaccessibles. Flancs de montagne, voies rapides, murs et ponts (Notre préféré ? L’éléphant rose sur la falaise qui borde la route en corniche...) Ce qui est devenu sa “marque de fabrique” s’impose dans le paysage, au nom de l’art, avec une belle spontanéité pour frapper la société au coin de son observation pleine de bon sens et avec un regard d’esthète des temps modernes. Jace se défend d’être “un rebelle” voire un vandale, ses talents s’exprimant toujours dans le respect de l’environnement. Avec cette préférence : “Les ruines, les chantiers en destruction, les batîments à l’abandon restent mes terrains de prédilection. Je fais du neuf avec du vieux. Je suis un brocanteur de l’art. A suivre

Article paru surle net "www.Clicanoo.com" du 21.01.04

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